Les mots ces tueurs qui détruisent les êtres comme des fourmis, sans égard, sans soupire comme un droit acquis…
Que ce soit les dictateurs qui de leur promesse ont charmé avant de détruire et tué
Que ce soit les présidents qui de leur discours pour la nation ont créé des guerres
Que ce soit les religieux avec leur fantasme des dieux ont abusé et accusé l’autre
Dans tous les cas ils ont utilisé des mots qui justifiaient leur bêtise destructive
Les mots promettent, charment, manipulent comme des couteaux qui déguste la chair
Les mots sont les outils avides de pouvoir, qui donnent à celui qui les possède le droit sur l’autre
Les mots aussi beaux qu’il soit, lorsqu’ils sont bien conjugués, demeurent un sabre, même un canon
Dans tous les cas, les mots sont à la merci de tout un chacun et la société félicite les plus forts
Mais en même temps que de plaisir ils peuvent provoquer si de subtilité ils sont apprivoisés
Mais en même temps combien d’histoire, de souvenir, de création ont-ils été les témoins
Mais en même temps ils sont la preuve, les détails, la composition de ce que nous sommes
Dans tous les cas, je les ai caressés, rudoyé, provoqué cherchant en eux une complicité
Les mots ne sont que des serviteurs qui serviront autant le mal ou le bien, ou le corrompu
Les mots appartiennent en premier lieu au pouvoir et d’un simple oui ils peuvent anéantir
Les mots sont pour plusieurs avocats une différence de justifier la laideur comme légale
Dans tous les cas j’aime les mots et oui s’ils peuvent détruire ils peuvent construire
Les mots sont trop souvent des armes que les plus fort sont habile à utiliser car pour eux la valeur d’un être na rien d’égal aux matériels qu’ils possèdent…
Le Jaseur et la vie