Les enjeux, parfois, pour ne pas dire très souvent, suite à des nouvelles, ça jacasse en christ sur les médias sociaux
La frustration est palpable, pourquoi, qui vont pas les aidés, il les laisse se faire tuer et se faire violer et fouetté
Parfois pour ne pas dire plus que très souvent, on est révolté, pour ne pas dire survolter, prêt à exploser
Al-Qaïda et le 11 septembre, l’état islamique égorge, Boko Haram enlève et viol, Israël bombarde, les Russes éliminent leur adversaires et la chine devient la puissance numéro un

Les enjeux

Parfois je me dis, les gouverneux, est-ce qu’ils ont vraiment le choix, et comme certains pensent, est-ce seulement un trip de riche pour faire de l’argent, un égal de dieu pour endoctriner, ou simplement le pouvoir de garder le pouvoir
Tout c’est milliardaire et personnes de pouvoir, toutes ces doctrines, jouent- ils juste pour s’amuser pour conserver leur beau pouvoir de se payer des châteaux et des putes de luxes ou les fameuses 50 vierges par martyr
Non, je ne crois pas que se soit si simple, même si oui il y en a qui détruisent des vies pour faire de l’argent, pour garder leur position dans les très haut placés, ou simplement pour être en érection devant leur dieu
Non, diriger un pays démocratique aujourd’hui c’est une partie d’échec sur un échiquier non pas à 64 cases, mais plutôt à 6400 cases et même plus

Tout est inter relié aujourd’hui, pays, économie, évolution, éducation, énergie, frontière… tout le monde joue a la pute avec tout le monde, tous les pays couchent avec tous les autres selon leur besoin qui comme la température est souvent changeante et incontrôlable
ici on s’amuse à jouer a la démocratie du politiquement correct, là-bas on joue à contrôler les sujets qui appartiennent a leur pays et vivent pour le servir, plus loin on se sert des femmes comme de la simple marchandise la ou le viol est un simple plaisir
Et chaque jour on introduit par tous les conduits médiatiques imaginables, toutes les atrocités dites humaines, toute la corruption dite politique, toute la laideur des religions de nos fous de dieu, toute la stupidité ou la nativité des réactions a ces tourments…

Internet a permis que tout et chacun puissent voir a quoi nous ressemblons, a quoi nous aspirons, a quoi ressemble ceux qui ont le pouvoir de détruire, que la démocratie comme le communisme et n’importe quel système que nous pouvons construire, ne seront toujours que temporaire, et éphémère…
Oui la science et la médecine évoluent, mais non on ne peu pas vraiment se la payer
Oui les armes pourraient éradiquer certains cancers sociaux, mais on ne peut pas vraiment déplaire aux autres pays
Oui les êtres sont probablement prêts a s’occuper deux même, mais, il plus simple de croire en des dieux ou de se plier au statuquo
Oui l’éducation changerait le monde, mais il serait toujours à la merci des suceurs de pouvoir

Ceci n’est pas une forme de pessimiste, c’est simplement un regard sur une machine qui est beaucoup plus grande et puissante qu’on ne peu l’imaginer, la ou chaque jour on marchande et joue d’habilité et de ruse pour sauver sa peau de pays au détriment de pion humain et de valeur qui servent que de simple monnaie d’échange
La vie a deux est souvent un bon défi a vivre et déjà là ont tire la couverte de notre coté
Et nous sommes près de dix milliards, avec différents langages, couleurs, besoins, etc.
Au moins, ont est sur d’avoir du travail a ce niveau pour longtemps à faire, pas de chômage ça c’est positif
Le balancier continu son mouvement et nous rappelle qu’il y a un prix pour se payer une évolution
L’internet et tous les médias sociaux, c’est un bel outil futur, mais pour l’instant ce n’est qu’un sofa confortable pour applaudir ou pleurer plus souvent qu’autrement la laideur humaine, un embonpoint de l’évolution de l’homme
Le gouvernement, les syndicats, l’armée, les religions, les hommes et femmes de pouvoir sont là en premier pour se servir eux-mêmes… si changement nous désirons il ne viendra que de l’intérieur donc de nous, quand l’effort et le courage seront à nouveau valorisés et partis des valeurs sociales.