La douleur, la peur, l’inconnue…Que faites-vous dans les têtes….

La douleur, la peur, l’inconnue

La douleur, la peur, l’inconnue

L’inconnue de la naissance à la mort…

Il n’y a pas d’âge qu’on dit pour apprendre donc encore moins pour vivre des émotions
Il n’y a pas d’âge pour sentir la peur l’insécurité quel que soit la force de la matière grise
Il n’y a pas d’âge pour vouloir fuir ce demain qui nous terrorise dans son entrevue subtile
Non il n’y a pas d’âge pour dire Calice que des fois c’est pas facile encore moins évident

La douleur on peut s’amuser a l’apprivoiser, même la courtiser, au pire la souler aux pilules,
La douleur une fois qu’elle a démontré ses couleurs majoritairement ce qui suit est inférieur
La douleur on ne peu nier sa corpulence et sa ténacité, sa lourdeur et son envie de donner
Non la douleur pour la majorité n’est pas le pire…mais ses amis, la peur de demain et l’insécurité de longue période de moitié de vie, eux sont souvent comme l’obscurité…

…de ce qu’on était, de ce qu’on désirait être, de tous les demain qu’on avait imaginé, dessiné, apprivoiser et qui sont et oui un peu tristement passé au suivant…

Le Roi est mort vive le Roi, bye bye belles possibilités…bienvenues a toutes les nouvelles… par ici on engage

Le changement sans possibilité de rappel nous informe en mode direct de notre petitesse, de notre vulnérabilité, de notre entente de droit de passage, que la vie n’est pas éphémère, mais subtilement arbitraire dont la seule justice est l’équilibre naturel….

Croire sans avoir cette matière grise nécessaire au destin d’une finale olympique, emmagasiner de la connaissance a saveur arbitraire,  accumulez des réponses, des croyances, des certitudes rapidement désuètes,  parcourir les recoins de la philosophie et des bibliothèques chercher a  savoir mais sans attente de se trop petit dans cet infiniment grand… et savoir que la seule place ou l’on peu s’arrêter et se reposer est de croire, croire au rôle de la continuité… du passer au suivant de cette course a relais si fantastique si peu temporel, car probablement  éternel…

Le Jaseur et la vie…

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer